J’ai testé un scénario de selfbondage

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 4 ans

La taille de ma chambre ne me permettant pas de déplacer suffisamment mon lit, je me suis donc replié sur le salon, dans lequel je me suis décidé à déplacer la table, certes moins lourde, mais sur un revêtement de sol rugueux ne facilitant pas le déplacement.

Après avoir déposé la clé au sol, je me suis allongé pour estimer la longueur de ficelle (je n’avais pas de corde) nécessaire entre la table et mes chevilles, puis j’ai attaché celle-ci à un pied de la table. Je commençais déjà à être très excité par la situation, et je me suis empressé de passer un anneau autour de mon sexe, pendant que la taille de celui-ci le permettait encore, afin de retarder à accentuer plus tard un éventuel plaisir.

J’ai ensuite passé une ficelle autour de ma taille, puis après l’avoir fait contourner et enserrer mon sexe sous le string que j’avais mis pour l’occasion, je l’ai nouée à hauteur du bas de mes fesses, afin de pouvoir plus tard passer les menottes dans la boucle ainsi formée.

Mes menottes étant pour poignets et chevilles, j’avais décidé de me compliquer encore un peu la tâche en déposant au sol la clé pour les chevilles et en fixant celle pour les poignets à une des menottes de chevilles, de telle sorte que je ne pouvais donc la récupérer sans avoir libéré mes chevilles. J’ai donc accroché cette clé, puis refermé les menottes sur mes chevilles, avant de fixer celles-ci à la ficelle reliée à la table.

J’ai ensuite attrapé mon cadenas de vélo, qui m’a servi à serrer fortement mes jambes l’une contre l’autre en faisant 3 tours au niveau de mes mollets et genoux. Une ceinture a terminé mon ligotage des jambes en les enserrant en haut des cuisses. Je commençais alors à être très excité par la situation, et mon sexe commençait déjà à me faire mal dans mon string. J’ai alors passé la partie poignets des menottes dans la boucle de la ficelle qui enserrait mon sexe, et j’ai placé une ceinture autour de ma poitrine, de telle sorte que je puisse encore difficilement y glisser mes bras. J’y étais presque, et la tension était à son comble.

Je me suis alors allongé, un dernier petit coup d’œil à la clé, et je me suis placé mon masque sur les yeux, de telle sorte que j’étais plongé dans le noir absolu. Il me restait alors à passer mes bras dans la ceinture, ce qui ne fut pas chose aisée, et je me demandais d’ailleurs à ce moment-là si j’arriverais à me libérer même sans les menottes. J’ai ensuite passé ma main gauche dans la première menotte que j’ai refermée sans trop de difficultés, ce qui ne fut pas le cas de la seconde.

En effet, la longueur de chaîne entre les menottes de chevilles et de poignets et la position de la boucle dans la ficelle à ma hanche maintenaient les menottes de poignets très bas, et j’arrivais tout juste à atteindre la seconde menotte avec ma main droite. Le peu de liberté de mouvement que me laissait alors la ceinture me donnait toutes les difficultés du monde pour attr a p e r et fermer la menotte avec la main gauche.

Tant et si bien qu’il me fallut bien 5 minutes avant de réussir à la refermer. Pendant ce temps, l’excitation provoquée par tous ces liens et la situation dans laquelle je me mettais, accentuée par les efforts que j’étais en train de fournir pour fermer cette dernière menotte et donc le manque d’oxygène provoqué ont fait monter mon plaisir de telle sorte qu’au moment même où je réussissais enfin à m’attacher, j’ai joui une première fois avec une f o r c e que je n’aurais même pas pu imaginer.

Heureusement que la menotte était maintenant fermée, car je ne sais pas si j’aurais eu la f o r c e de continuer sinon. Mais là je n’avais plus le choix. J’ai alors commencé à essayer d’avancer.

Heureusement la rugosité du sol me permettait d’avoir des appuis, mais c’est cette même rugosité qui a fait qu’après seulement deux ou trois mouvements l’irritation provoquée me faisait mal partout, et mon string était descendu, laissant mon sexe frotter lui aussi sur ce sol. Chaque mouvement était alors encore plus pénible, et je commençais à douter, ce qui avait le don d’augmenter encore mon excitation et la douleur de mon sexe.

Quand enfin après de nombreux efforts, ma tête rencontra un obstacle, je fus à la fois étonné et paniqué de me rendre compte que ce n’était absolument pas la bouteille d’eau mais la baie vitrée. Les diverses idées qui me sont alors passées par la tête m’ont alors fait jouir une seconde fois, et à ce moment j’aurais aimé avoir un bâillon pou masquer mes cris de plaisir.

J’ai supposé alors que la clé devait se trouver quelque part sur ma droite, étant donnée la disposition de la pièce et de la clé au départ. Mais se déplacer latéralement était, à cause de mes liens, encore plus difficile que d’avancer. Au bout de plusieurs nouvelles minutes d’effort, mon sexe n’ayant par ailleurs rien perdu de son ardeur, ma tête a enfin heurté la bouteille et mes mains n’ont alors eu aucune difficulté à attr a p e r la clé.

Le soulagement n’allait malheureusement être que de courte durée. En fait, je me suis vite rendu compte que mes mains n’arrivaient pas à atteindre mes chevilles, même en pliant mes jambes au maximum. Le soulagement a alors cédé à la panique, et c’est dans un nouveau cri de plaisir que j’ai essayé de trouver une solution. La seule que j’ai trouvée était alors de réussir à me mettre à genoux, le poids de mon corps me permettant alors de plier suffisamment les genoux pour que mes mains atteignent mes chevilles. Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, et le seul moyen que je voyais pour réussir à me mettre à genoux malgré mes liens était de m’aider du canapé, qui ne devait pas être loin.

En prenant garde à ne surtout pas lâcher la clé, j’ai alors entrepris un dernier déplacement, et, en m’allongeant sur le côté puis en m’aidant de ma tête pour appuyer sur le canapé, je réussis enfin après plusieurs tentatives à me redresser et à me mettre à genoux. J’avais mal partout, mais la fin approchait.

Même s’il me fallut alors quelques tentatives infructueuses avant de réussir à trouver le trou de la serrure, la libération de la cheville détenant la clé pour les poignets ne fut pas la tâche la plus difficile, et l’ouverture des menottes de poignets non plus. Le soulagement me fit alors jouir une quatrième fois, et il ne me restait alors plus que deux difficultés à surmonter : réussir à sortir mes bras de la ceinture, ce qui ne fut pas une mince affaire, puis trouver où j’avais mis la clé du cadenas de mon vélo que j’avais oublié de préparer, et cela en sautant à pieds joints puisque mes jambes étaient fortement serrées entre elles.

A cause des efforts précédemment réalisés, ce ne fut pas chose facile, mais je finis par y arriver. J’étais enfin parvenu à me libérer, et un rapide coup d’œil à l’heure me fit constaté qu’il s’était quand même passé une heure entre le moment où je m’étais masqué les yeux et celui où j’ai eu fini de me libérer.

Je suis alors resté un long moment allongé au sol, les yeux fermés, pour profiter au maximum de ce moment de relâchement et de soulagement, puis je me suis préparé à aller me coucher, en n’oubliant pas de prendre une cinquième fois du plaisir en repensant à l’aventure que je venais de vivre.

AVS59

QUELQUES LIENS

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